Novembre 2018
Cent ans séparent ses deux dates, dix millions de morts, dix millions de familles endeuillées.
Personnellement je ne suis pas enfant de poilus mais enfant d’émigrés de l’intérieur de la guerre des poilus. En 1914, mon grand-père âgé de 3 ans a fuit son Cambrai natal avec sa mère, pour la Provence. Sa mère ne parlait que le Chti et elle a vécu le restant de sa vie en parlant le chtimi avec des provençaux au langage chantant et imagé. Un mélange qui faisait tout mon grand-père, homme au teint clair, aux yeux bleus mais au langage chatoyant.
Nous honorerons cette guerre avec quelques cartes dont certaines nous ramènerons à notre Indochine.
octobre 2018 => 1650 visiteurs, 25 nouvelles cartes.