À partir du 1er décembre, Cartacaro vous invite à vivre une expérience unique pour patienter jusqu’à Noël : le Calendrier Cartophile de l’Avent 2024. Cette année, partez à la découverte de trésor visuel de la péninsule indochinoise.
Paris 2024, Canoë Kayak
Le canoë-kayak comporte deux disciplines très différentes qui figurent toutes deux au programme olympique : Le canoë-kayak sprint et le canoë-kayak slalom. Chaque discipline fait référence à deux types d’embarcations : le kayak et le canoë. Le « pagayeur » de kayak est en position assise et utilise une pagaie double, tandis que le « pagayeur » de canoë est agenouillé dans l’embarcation et utilise une pagaie simple.
Les compétitions de canoë-kayak slalom se dérouleront sur le tout nouveau stade d’eau vive. La compétition de slalom est une course chronométrée sur un parcours comportant jusqu’à 25 portes à franchir. Toucher une porte ajoute une pénalité de deux secondes à la course et manquer une porte entraîne une pénalité de 50 secondes, ce qui annihile toute chance de l’athlète d’obtenir un bon résultat.
Pirogue de course, Laos
Le canoë slalom est apparu pour la première fois aux Jeux Olympiques de Munich, en 1972, et est définitivement entré au programme olympique aux Jeux de 1992 à Barcelone. Le palmarès olympique du slalom est largement dominé par l’Europe, qui s’arroge 90% des médailles décernées. Par exemple, entre les éditions d’Atlanta en 1996 et de Rio en 2016, seules trois médailles masculines ont échappé aux nations européennes.
À Paris, un nouveau format de compétition de slalom fera ses débuts avec des épreuves de kayak cross (hommes et femmes). A l’instar du ski cross ou du snowboard cross, quatre athlètes s’élanceront ensemble d’une rampe de départ et devront descendre un parcours délimité par dix portes ou obstacles nécessitant une manœuvre de type kayak-rail. Les deux premiers athlètes qui franchissent la ligne d’arrivée sans manquer une porte passent à la phase suivante.
Fête des eaux, Cambodge