La famille du Dê Tham
En 1897, le pouvoir français traite avec Dê Tham et octroie à celui-ci une zone autonome de 22 villages dans le haut Yen -Thé en échange de son désarmement et de sa soumission.
On photographie le Dê Tham, on le photographie même en famille, il est un héros pour les journaux, il fait vendre du papier, et on le met en scène.
Puis en 1905, le Dê Tham reprend la lutte, la rébellion, la résistance.
Les français luttent il faut faire cesser cette rébellion, et les massacres et crimes qui y sont associés.
Les batailles sont rudes et aux français s’associent les chefs de guerre vietnamiens, ennemi du Dé Tham et notamment Le Kam Sai.
Celui-ci arrête la troisième femme du Dê Tham.
Dê Tham est un chef de bandes. Il associe à ses combats un jeune chef impétueux Ca Rinh et lui confère le titre de fils adoptif comme il était de mise à cette époque.
Ca Rinh sera pris et fera soumission
.
On arrête ses épouses.
Ainsi que sa bande avec sa jeune fille Ca son, petite fille de Dê Tham.
En 1909, lors de la prise du fortin de Cho Go, on arrête le beau-père du Dê Tham.
On transporte ce vieil homme dans un panier, délicatesse ou humiliation ?