Guides liminaires - Numéro 1 -texte écrit vers 1930-1937
Les Cambodgiens qui se désignent eux-mêmes par le mot er Khmer sont appelés par les étrangers Kambujas, les fils de Kàmbu (1), du nom d’un ancêtre légendaire.
Cela semble être une population en grande partie autochtone qui fut civilisée en diverses fois par des émigrants de l’Inde, religieux et marchands. Ils ont ainsi reçu la première impulsion artistique, mais ce sont bien eux qui ont élevé leurs monuments en modifiant l’enseignement hindou suivant leur personnalité et c’est une erreur complète de croire le Cambodgien actuel différent des grands (...)
Toujours plus ...
Le Cambodge - Histoire et religion Portraits indochinois par André Joyeux (3) 3 nouveaux portraits d’ André Joyeux
Philex2024 - Le programme des animations Cartacaro vous accueillera au salon PARIS-PHILEX 2024
Expertise gratuite de vos cartes postales et photos anciennes du Laos, Cambodge, Vietnam et Indochine. Hall 5.1, Paris expo, Porte de Versailles, PARIS 15e
Rendez-vous sur le Stand du GAPS avec la COLFRA et la Philatélie Chinoise.
Le programme des animations Les conférences, la vente aux enchères et la table ronde E-sport se dérouleront en salle de conférences.
JEUDI 30 MAI
11h. Inauguration du salon en présence de Philippe Wahl, Président-Directeur général du Groupe La Poste, de Masahiko Metoki, Directeur général de l’UPU et (...)Portraits indochinois par André Joyeux (2) André JOYEUX, professeur d’art appliqué, illustra de ses dessins la vie indochinoise, il réalisa aussi des portraits.
La citadelle de Hué, par Alphonse Guérin Avec cette vue nous voyons parfaitement la citadelle, bordée et entourée de fortifications et de fossés, alimentés par les canaux creusés par la main de l’homme, eux-mêmes alimentés par la rivière de Hué ou rivière des parfums.
La citadelle est entourée de larges douves qui délimitent sensiblement un carré sur un périmètre de plus de 10 km ainsi que de murs de 6 m de haut.
La largeur des murs atteint par endroits 20 m. La citadelle est accessible par dix portes fortifiées, chacune munie d’un pont.
Ici admirons ses miradors, ses fossés et l’infirmerie coloniale qui a pris place dans l’un des miradors. (...)Léon Busy, agent du gouvernement général de l’Indochine. En 1921 Léon Busy est libéré de ses obligations militaires et c’est avec fougue et passion qu’il photographie. En premier lieu, Phnom Penh où il réside. Il photographie pour la société de géographie elle-même mais aussi pour l’exposition coloniale de Marseille. Il commence à être connu et photographie pour l’art photographique plus que pour le versant historique ou ethnographique.
En 1923, il devient agent contractuel photographe des affaires économiques du gouvernement général de l’Indochine, il travaille sous les ordres de René Têtart. C’est dans cette fonction que nous connaissons ses photographies, qui (...)